Premier débarquement [ Tout le monde ]

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.........Un vent frais faisait voleter les mèches sombres du garçon autour de son visage. Les yeux d'Eliott étaient rivés sur un point du ventre bleu de la mer. Sur la ligne svelte de l'horizon se dessinait une fome. Cette silhouette, il savait ce que c'était et c'est elle qu'il attendait depuis des heures aux côtés de ses compagnons. L'Unique. Le bateau qui transporatit jusqu'aux Îles les gamins du Continent Appauvri.
Leurs allures de misérables étaient trompeuses, il étaient riches. Riches de liberté et d'aventure. Et voilà que bientôt, tous les 5 seraient maîtres d'une Tribue...

.........Robin, Chef des Poissons se tenait assis sur le bord du ponton et il trempait ses pieds dans l'eau froide. De petites vaguelettes se formaient sous lui pour séloigner doucement et disparaître à nouveau. Eliott eu un vague sourire en s'appercevant que Livia, Chef des Singes, se tenait su le toit de la cabane de bois sombre. C'était sans doute elle qui semblait la plus apauvrie. Ses vêtments étaient déchirés et ses cheveux pleins de feuilles et des brindilles. Elle paraissait maigre mais la jeune fille était déjà mince en arrivant. Eliott ne s'inquiètait pas : les Îles étaient pleines de ressources et ce n'était pas Livia qui aurait du mal à les trouver.
Fébrile, le garçon tourna alors la tête vers Samuel, Chef des Félins. Lui aussi semblait vraiment impatient du débarquement de l'Unique. Un peu en retrait se tenait Zoé, Chef des Oiseaux. Ses longs cheveaux roux volaient derrière elle et son regard clair scrutait les nuages. Eliott leva alors la tête et vit d'une nuée de mouettes volaient en silence au-dessus de leurs têtes. Il suivit du regard leurs trajectoires courbes pendants quelques instant.

.........Ce fût Samuel qui le tira de sa rêverie d'un coup de coude. Le bateau n'était plus qu'à quelques dizaines de mètres et on pouvait distinguer, dressé à l'avant la silhouette frêle d'un enfant. Livia sauta du toit avec souplesse et vint se ranger aux cotés des autres, de même que Robin et Zoé. Cette dernière se tourna vers lui comme pour dire quelques chose mais elle s'accouda finalement à la barrière, le vent fouettant toujours sa flamboyante cheveulure.
Eliott lui plissait à présent les yeux pour mieux voir. Il espérait reconnaître un visage, celui de son demi-frère. Mais, au fond de lui, il savait qu'Oscar ne se trouvait pas à bord de l'Unique mais chez lui. Loin de ce merveilleux archipel, loin dela liberté qui devrait être celle de tous les enfants du monde...
Le garçon aux cheveux noir ébène frappa d'un poing rageur la balustrade de bois flotté. Des têtes se tournèrent brèvement vers lui avant d'être retournée vers le rafiot.

.........Robin fût le premier à descendre attrapper les amares, suivit de Livia qui en profita pour étonner encore de sa souplesse les autres Chefs. Peu de paroles avaient étées échangés depuis que, tous les 5 à bord de leur barque, étaient arrivés à la cabane des Orientations. La raison était plutôt simple. Le coeur des enfants était encore sans desous dessous. Trop de changements avaient boulversés leur existence et les mots n'était pas toujours faciles à trouver. Pourtant, le sile,ce n'était pas pesant. Chacun évaluait, réfléchissait, prévoyait, inventait. En effet, ils était tout de même les 5 Grands Chefs et ils ne devaient pas se perdre en de futils bavardages.
Soudain, une voix grave passa par dessus les flots et lança :

- "Content de vous voir en vie les mioches !"

Eliott esquissa à nouveau un sourire. Le capitaine de l'Unique, lui plaisait bien. Un viel homme amoureux de la mer, rude mais courageux leur avait ouvert la voie vers ses Îlots perdus. Il lança à nouveau :

- "J'veux deux costauds pour amarer le vaisseau. Et que ça saute les mômes !"

Livia et Robin s'exécutèrent.
.........Enfin, l'Unique était amaré. Plusieurs gamins descendirent, timides, perdus, intrigués, effrayés. Eliott était en ce jour d'une humeur exellente et, sa colère de ne pas voir son frère de coeur déjà oubliée, il décocha un sourire qui illumina ses traits. Ses yeux vifs glissèrent de visage en visage. Il crut voir des larmes mais ne releva pas. Les enfants avaient avec eux des maigres baluchons qui contenaient tout ce qu'il leur restait de leur ancienne vie. Précieux donc. Le capitaine de l'Unique échangea quelques mots avec Samuel. Il lui donna des nouvelles du Continent Appauvri. Pas de supprise, l'eau montait de façon toujours aussi irrémédiable.
Eliott écouta d'une oreille distraite la conversation tout en contemplant les nouvelles têtes. Il se demandait avec lequel de ces gamins il retournerait sur son Île tout à l'heure...

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Nombre de messages : 2 Age : 30 Date d'inscription : 09/12/2007

La jeune blonde descendit du bateau et mit pied à terre. C'était quoi cet endroit ? Elle tangua un peu, elle n'avait plus l'habitude d'être sur un sol qui ne bougeait pas au rythme des vagues. Elle se stabilisa et commença à observer devant elle. Pfff... Franchement, c'était trop beau pour elle...Mais toujours mieux que chez elle avec ses parents, non ? Elle n'adressa la parole à personne, mais observait, chaque mouvement, chaque visage... Mais à quoi bon ? Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle était la... On l'y avait envoyé, c'était tout, elle s'y ferait bien avec le temps. Elle commença à jouer avec son bracelet clouté, signe de nervosité de sa part...

Lilsey, qui s'était attardée dans le bateau, sorti enfin de celui-ci. Elle entonnait un petit air musical d'une chanson, sa chanson préférée. Elle remarqua par la suite la foule de jeunes qui se tenaient juste devant elle. Elle remarquait les chefs. Elle se demandait quel serait le sien. Elle arrêta de chantonner. Elle marcha vers la foule, car elle était un peu vers l'arrière. Elle remarqua aussi les nuages blanc dans le ciel si azur. Encore, elle tomba dans la lune. Le monde paralit, mais elle n'entendait rien. Elle était dans sa bulle ...

(Oui mais s'teuplé fait pas bouger nos persos Eliott)

Sur le toit de la cabanette, Livia rêvait en regardant les nuages. Elle s'était accroupie, en position féline, rêvassant de ce qu'aurait pu être sa vie si cet adulte ne l'avait pas remarqué quand elle se défendait en donnant un grand coup de pied à son agresseur. Bref ... Elle serait devenue une bourgeoise, dans un quartier bourgeois, à l'abri de l'eau et de ses ravages. La jeune fille toucha ses cheveux, réfléchissant déja à une couleur. De ses habits noirs très gothiques mais très bourges, il ne restait que des loques, mais cela lui allait. Elle était vêtue aujourd'hui d'un pantalon noir ou cliquetaient nombres de chainettes de fer, montrant qu'elle était gothique, d'un tee-shirt lui aussi noir, ou était affiché un groupe qu'elle idolait, les "Mindless Self Indulgence"n troué à plusieurs endroits, mais suffisamment large à son gout. Des bracelets noirs, en cuirs, certains avec des piques, cliquetaient à ses poignets frêles et pâles. Sa peau, si blanche, si douce à la vue, prouvait qu'elle avait été bourgeoise ... Et les cicatrices sur ses bras qu'elle était Gothique et qu'elle avait eu pas mal d'emmerdes pour ce statut.

Un grand cri la tira de ses tristes pensées. Elle leva les yeux pour voir Zack, le Capitaine de l'Unique. L'Unique qui lui avait sauvé la vie, qui l'avait amené ici. L'Unique qui, encore une fois, sauvait des vies. Livia attrapa le pendentif qui tressautait autour de son cou, une croix retournée, signe de sa rébellion contre la société entière et contre elle-même, et le porta à sa bouche ... Puis le lâcha. Son unique tic était de sucoter la croix retournée ... Mais ca attendrait un peu. Elle sourit à Zack et leva la main gauche, levant les deux doigts, signe du Gothique flemmard pour dire bonjour. Zack lui sourit et agita la main vers elle. Livia descendit avec agilité du toit de la cabane et fut en deux pas à côté d'une amarre qu'elle attrapa. Elle tira sur la corde pour faire venir le bateau sur la berge. Puis elle accrocha la corde à la bite (oué bein désolé ca s'appelle comme ca XD) et recula de deux pas pour se mettre au même niveau que les quatre autres adolescents. Elle esquissa un sourire.

- Ok, je prend. -

Livia s'avanca de quelques pas et monta sur une souche d'arbre prévue à cette occasion, pour que les arivants ne voient qu'elle et que les autres soient en retrait. Elle passa sa main blanche dans ses cheveux ébouriffés par la caresse du vent, et commenca à parler d'une voix forte.

- Bienvenue sur les Iles !! Tout d'abord, je suis Livia, Chef des Singes. Voici Robin, Chef des Poissons, Zoé, Chef des Oiseaux, Samuel, Chef des Tigres, et Eliott, Chef des Chevaux. Je vais vous faire passer un questionnaire à remplir pour cibler vos différents traits de personnalités et savoir à quel Clan vous envoyer. Une chose reste à savoir, il y a Cinq Iles, donc Cinq Clans. Des questions ?? -

En attendant les questions, à venir ou non, la jeune Gothique fit passer des fiches, un questionnaire, ce qu'il fallait remplir. Un bref instant, Livia se demanda qui viendrait avec elle peupler son immense Forêt ...

Nombre de messages : 10 Age : 29 Date d'inscription : 01/02/2008

Seule dan son coin, Marie-Laurence carressait son ourson en peluche. Les larmes coulaient sans qu'elle puiss les arrêter. Elle repensait à sa famille qui était morte quelques années plus tôt, au gentil marin qui s'était occupé d'elle avant de l'envoyer sur ces îles. Elle était bien sûr d'accord, c'était même elle qui s'était proposé. Mais maintenant, elle regrettait. Elle savait que c'était sa seule chance de survive mais elle avait peur. Elle était seule, elle ne connaissait personne. Elle n'avait jamais visité cet endroit auparavant et ça l'effrayait. Elle risquait de se perdre et d'errer jusqu'à ce qu'elle meurt de faim ou de fatigue, ou pire encore, elle risquait de tomber sur une bête féroce assoiffé de sang! Elle eut un frisson d'horreur à cette pensée. Quel genre de monstres se cachaient sur ces îles? Des tigres, des crocodiles? Ou peut-être y avait-il des dinosaures? Sa mère lui avait sans cesse expliqué qu'ils avaient disparut depuis longtemps mais elle avait pu se tromper! La petite secoua la tête pour chasser ces horribles idées de son esprit. Elle prit Calinours, son ourson en peluche, dans ses bras et le serra fort. Elle lui chuchotait des paroles tout bas.

- Ne t'inquiète pas Calinours. Tout va bien aller! On va se serrer les coudes et tu vas voir, tout va bien aller. Il n'y a pas de raison d'avoir peur. C'est seulement... un endroit inconnu et peut-être hostile...

Elle se remit à pleurer à chaude larme, la tête dans les genous. Elle n'aimait pas cette endroit. Il y avait plein de jeunes de son âge qui lui étaient inconnu, et qui n'arrêtaient pas de leur crier des ordres! Certains se prennaient même pour des chefs... Non, elle n'aimait décidément pas cette endroit! Tout était si... différent. Elle aurait préféré retrouver son ancienne vie, avec sa famille, sa mère, sa soeur et... son père. Elle aurait aimé mieux le connaître. Si seulement il n'était pas mort si tôt!
Elle sortit de sa poche un petit photo représentant une famille composé de la mère, la grande soeur et la petite soeur. La tête du père avait été découpé par Marie-Laurence. Elle en avait voulu à son père d'être mort et avait découpé sa tête sur toutes les photos qu'elle avait trouvé. Maintenant, elle regrettait. Elle ne se souvenait plus à quoi il ressemblait. Elle avait détruit un des seuls souvenirs qu'elle avait de lui. L'autre, c'était son petit ourson en peluche. Elle ne l'avait jamais quitté depuis qu'il le lui avait offert, pours ses neufs mois, juste avant de partir pour la guerre.

Une larme coula et tomba sur la photo. Elle ne l'essuya pas. Bientôt sa vue se brouilla d'un rideau de larmes. Elle déposa la photo dans les mains de son ourson et se remit à pleurer, la tête entre les genous. La vie était si injuste!

Eliott observait chacun des nouveaux arrivants. Déjà, plusieurs des autres Chefs distribuaient des questionnaires et des crayons. Le garçon eu un petit sourire et il songea que le destin de ces jeunes dépendait de ces feuilles de papiers jaunies. Alors qu'il allait rentrer dans la cabane pour attendre le départ, il perçut un sanglot étouffé.
Le garçon aux cheveux sombres tourna vivement la tête et il vit, se tenant un peu à l'écart des autres, une enfant en pleurs.
Doucement, Eliott s'écarta de Zoé qui se tenait près de lui et il marcha vers la frêle petite fille. Son air devint grave lorsqu'il vit qu'elle serrait contre elle une peluche, ourson ou lapin. Il revit son demi-frère, sanglotant sur son lit, la veille de son départ. Le petit garçon de 8 ans l'admirait et l'aimait. En apprenant qu'il allait le quitter, celui-ci s'était mis à faire des cauchemards.
Cette nuit-là, lorsqu'Eliott s'était levé pour voir un dernière fois le jardin de nuit, il était passé devant la chambre d'Oscar et avait entendu le garçon qui pleurait. Il était alors entré et avait glissé sa main dans celle, mouillée de larmes de son petit frère. Il l'avait guidé dans la maison juqu'au jardin. Et, à la lumière de la lune, il avait vu qu'Oscar avait gardé avec lui sa peluche, un éléphant aux couleurs passées et dont l'oreille était déchirée.
L'adolescent avait alors promis à son frère la première chose qui lui était passée par la tête, près à tout pour que le petit sèche ses larmes :

- Tu vois Oscar, ton éléphant et bien il a des pouvoirs magiques. Et quand je me serais... parti, il pourra te protéger. Toujours !

Le garçonnet avait levé ses yeux bleus et tristes vers lui :

- C'est vrai ?

- Croix de bois, croix de fer !

Et il avait juré, levant sa main droite. son demi-frère avait alors rit, de son rire frais d'enfant encore innocent. Tous deux, ou plutôt tous trois si l'on comptait Monsieur éléphant, courir en tous sens, à se rouler dans l'herbe et à grimper dans les arbres de l'immense jardin du père d'Oscar.
Au matin, ils étaient rentré, trempée par la rosée, pieds nus et barbouillés de terre. Mais plus que jamais, grand et petit frère, s'étaient amusés ensemble. Pour la dernière fois.

Ce furent ses images qui revinrent à l'esprit du Chef des Chevaux lorsqu'il vit l'enfant et son ourson. Et il décida immédiatement de la prendre sous son aile. Il le ferait pour Oscar, son petit frère adoré. Le garçon avança jusqu'à la fillette, s'agenouilla près d'elle et passa un bras autour de ses épaules, doucement. Il murmura :

- Viens petite, t'inquiète pas. Je te promets que tu va te plaire ici. Croix de bois, croix de fer.

Sa gorge se serra.

Violette accueillit les nouveaux arrivants. Ils avaient l'air heureux d'être ici. Maintenant, il fallait choisir ceux qui étaient dignes d'être dans la Tribue des Oiseaux. Violette se sentait fière. Un sourire sarcastique collé au visage, elle dit:

"Bienvenue, chers nouveaux arrivants! Maintenant, il va vous falloir remplir le formulaire. Grâce à celui-ci, nous pourrons sélectionner dans une Tribue, soit celle des Poissons, des Chevaux, des Félins, des Singes et bien sûr, la meilleure: celle des Oiseaux."

Violette émit un petit rire assez vexant. Ce n'était pas de sa faute si elle avait l'air ch***te, c'était dans sa nature!

Nombre de messages : 10 Age : 29 Date d'inscription : 01/02/2008

Marie-Laurence sentit des bras autours de ses épaules. Lorsqu'elle était triste, sa soeur faisait la même chose et lui disait des paroles réconfortante et lorsque sa petite soeur se calmait, elle la faisait rire en la chatouillant. À chaque fois ça marchait et elle sèchait ses larmes. Mais tout ça s'était finit depuis un an, depuis qu'elle était morte. Ses bras si rassurant ne s'enrouleront plus jamais autours de ses épaules et elle n'entendra plus la voix si douce de sa soeur.
Un peu perdut, la petite avait oublié tout ça et, croyant que c'était Caroline, elle se serra contre elle - ou lui plutôt, puisque c'était un garçon - et sanglota de plus belle. Mais lorsqu'elle s'aperçut qu'il était plus musclé que sa soeur, elle devina que se n'était pas elle. Elle releva la tête et fixa le jeune garçon. Elle le repoussa immédiatement et se remit la tête entre les genous, pleurant à chaudes larmes. Elle savait que le garçon était toujours là mais elle ne s'en souciait pas.

Lorsqu'elle avait repoussé le garçon, elle avait laissé tomber son ourson et sa photo sans s'en rendre compte. Elle se retourna, reprit sa peluche et, essuyant ses larmes, elle fixa le petit - bien qu'il soit plus grand qu'elle il n'était pas très vieux - un long moment. Elle ne savait pas si elle devait lui faire confiance mais comme elle était seule... Peut-être était-il sincère? La seule façon de le savoir c'est de le suivre. La fillette se leva et baissa les yeux, regardant sa petite peluche.

- Tu... tu me le jure? C'est pas une blague hein?

Marie-Laurence releva les yeux et les planta dans ceux du garçon.

........Eliott poussa un soupir agacé en etendant les paroles de Violette. Il savait qu'elle n'était pas méchante mais son caractère l'insuportait. Comme beaucoup d'autre. Eliott n'était pas très sociable.
Puis il reporta son regard sur l'enfant, déjà décidé à ce qu'elle le raccompagne sur son Île, celle des Chevaux.
Un sourire réconfortant se dessina sur le visage du garçon et il se releva. D'un geste de la main il désigna son Île, plus loin au milieu de l'eau. Il expliqua d'une voix sincère :

- C'est là-bas que je vis. Tu va voir, cette Île est mille fois plus passionante que le Continent Appauvri.

Il s'arrêta une seconde. Continent Appauvri... une foule d'image lui revenait en tête. Il les chassa avant de continuer :

- Après mon arrivée, j'ai batti quelques cabanes et des enclos. Tu sais, je mange mieux dans mon nouveau domaine que je n'ai jamais mangé sur le continent. Et il y a tellement de choses à faire, à voir ! C'est... la liberté.

Alors qu'il pronnonçait ses mots, son visage rayonnait de joie comme jamais. Cette Île sauvage et si vivante était pour lui un véritable paradis. Il se pencha à nouveau vers la fillette et lui souffla :

- Et puis j'ai un secret petite. Personne d'autre que moi ne le sais dans l'Archipel. Tu verras, bientôt tu comprendras et tu oubliera ces quelques larmes.

Les yeux d'Eliott se posèrent un instant sur la photo que l'enfant gardait préciseusement. Il jugea qu'il valait mieux ne rien dire et tendit à la petite fille une fiche de questionnaire et un crayon de couleur.

Nombre de messages : 10 Age : 29 Date d'inscription : 01/02/2008

Marie-Laurence caressait son ourson, écoutant attentivement le jeune garçon. Elle leva les yeux de sa peluche et fixa l'île. Elle avait l'air minuscule d'ici mais elle savait que ce n'était qu'une impression. Elle serait sûrement dix fois plus grande que celle où elle se trouvait en ce moment! Elle avait déjà hâte de visiter les autres îles! Finalement, se serait peut-être plus amusant qu'elle ne le croyait de vivre ici!
Lorsque le garçon parla d'enclot, un sourire illumina son visage. Il y avait peut-être des animaux dans ces enclots! Elle avait toujours rêvé d'avoir un Poney mais sa mère lui avait sans cesse répété qu'ils n'avaient pas l'argent et que c'était beaucoup trop de responsabilité pour une petite fille comme elle. À la pensée de sa mère, une larme coula sur sa joue qu'elle s'empressa d'essuyer.

- Il y a des Poney sur ton île? J'aimerais avoir un Poney mais ma maman ne voulait pas. Elle disait que je suis trop petite. Mais j'ai 10 ans! Je suis assez grande pour m'en occupper!

Elle afficha un grand sourire aux dernières paroles du garçon. Elle adorait les secrets! Surtout lorsqu'elle était la seule à le connaître! Elle sautillait sur place, sa peluche dans la main.

- C'est quoi ce secret? Dit-le moi s'il te plaît!

Elle ramassa la photo qu'il lui tendait et fit des petits yeux doux afin de le convaincre de lui dire son fameux secret. Malheureusement, ça devra attendre!
La fillette prit le formulaire et le crayon de couleur rouge. Elle parcourrut les questions des yeux. Elle ne comprennait pas à quoi pouvait servir ce formulaire. Après tout, qu'est-ce qu'elle avait à perdre? Elle lut la première question :

- N... nom. J'écris mon nom là? Et mon â... âge en dessous, c'est ça?
demanda-t-elle tout en lisant les questions.

Elle avait toujours eu de la difficulté à lire, elle devait se concentrer sur le mot pour pouvoir le lire. Malgré tout, elle y arrivait. Elle écrit son nom et son âge. Elle releva la tête et fixa le garçon.

- Et toi, c'est quoi ton nom? Et ton âge? Moi c'est Marie-Laurence! Et mon ourson c'est Calinours.

Ladite Marie-Laurence semblait bien triste. Ce n'était pas dans le tempérament de Violette de consoler les autres, mais elle dit cependant, s'approchant de la petite fille de 10 ans:

"Marie-Laurence? Bonjour parmi nous! J'espère que tu t'y plairas. En passant, bien sûr que tu es assez grande. moi, tu vois, j'ai 14 ans. [14, c'est okii??] Même si je suis des «Pit-Pit», je suis sûre que tu sauras monter à dos de ces braves bêtes... Moi, tu vois, j'en suis incapable."

Violette tenta de sourire, un sourire amical et non de son habituel sourire mesquin...

"Dis-moi, Elliot, tu connais des gens qui aimeraient être des Oiseaux?"

Violette porta son regard vers la mer. Les vagues venaient s'évanouir sur le sable...

Nombre de messages : 10 Age : 29 Date d'inscription : 01/02/2008

Marie-Laurence observa l'adolescente. Elle se sentait un peu intimidée face à elle. À son école, les plus vieux torturaient toujours les plus jeunes. Ils leur volaient leur argent, leur dîner, leur sac-à-dos et s'amusaient à se l'ait lancer, trop haut pour que les petits enfants ne puissent les attrapper, même en sautant. Depuis, elle se méfiait des plus grands. Elle avait entendut le message de la jeune fille et ça ne la rassurait pas du tout. Elle semblait tout aussi égoïste et égocentrisme que les dernières années de son école. Peut-être n'était-ce qu'une impression, mais elle n'allait tout-de-même pas prendre cette chance.
Elle jeta un regard au jeune garçon, serrant son ourson contre elle. Elle fixa ensuite sa peluche. Relevant les yeux vers la jeune fille, elle dit, s'adressant au chef des chevaux :

- Elle ne m'inspire pas confiance! C'est qui au juste?

Elle regarda à nouveau le garçon. La fillette ne se souciait pas de parler ainsi de la chef des oiseaux, juste devant elle. Elle aurait préféré qu'elle parte et qu'elle la laisse seule avec le garçon, le seul en qui elle est confiance pour le moment. Il semblait gentil et elle ne savait que penser des autres. Pour l'instant, ça lui suffisait. Elle se fichait bien de rencontrer d'autres personnes tant qu'elle pouvait faire confiance à au moins une personne.

Oubliant l'adolescente, elle reprit son crayon et continua de remplir le formulaire.

Eliott répondit d'une voix neutre à sa camarade Chef des Oiseaux :

- On verra bien avec le formulaire...

En réalité, il n'avait aucune idée de qui regagnerait quelle tribue. Il regarda un instant la petite fille qui remplissait en s'appliquant le formulaire. Alors que Violette semblait perdue dans la contemplation des vagues, il expliqua à l'enfant :

- Violette. Elle est le Chef des Oiseaux. Un sale caractère. Il faudra se méfier d'elle quand le Jeu commencera vraiment.

A ces mots, le garçon se mit à repenser à ce jeu que les 5 premiers dont Violette et lui avaient inventé. Il ignorait encore comment celà se passerait mais il savait que la partie serait rude. Les gamins sont parfois près à tout pour obtenir ce qu'ils veulent et bien sûr à adapter les règles à leur façon. Mais ce qu'il savait, c'était que lui et sa Tribue joueraient sans se préocuper des problèmes de autres. Ils se débrouilleraient très bien tous seuls. Pas questions de passer des alliance ou de faire confiance à l'ennemi. Le jeune garçon avait déjà une idée de la façon dont il s'y prendrait.
Un frisson d'exitation le parcouru et il s'ébouriffa les cheveaux d'une main avant d'aller s'accouder à la balustrade qui surplombait la mer.

Violette détacha son regard de la mer. Elle regarda encore l'enfant et Eliott. Violette, se sentant de trop (avec raison!) s'éloigna. Elle pensait au Jeu. Qu'allait-il arriver? Elle, Violette, comptait prendre des enfants avec un caractère comme elle. Des enfants fiers, confiants, extravagants, intelligents, astucieux, bref, Violette en voulait dans ce genre. Malheureusement, elle ne voyait aucun enfant correspondant à ses critères de sélection. Enfin, pas encore, du moins...

Violette dit à Eliott:

"Le formuaire, le formulaire... Eliott, il faudrait beaucoup plus d'enfants que cela, voyons!"

Violette soupira.

(HJ: Truc pour la Pub: Admins, vous n'avez qu'à éditer le sujet Jeu d'Enfants, dans Pub sur Cat-Life. Ainsi, il sera en haut, dans toutes les Pubs. Vous me comprenez pas, hein? )

Nombre de messages : 10 Age : 29 Date d'inscription : 01/02/2008

Marie-Laurence entra sa dernière réponse et tendit le formulaire au garçon nommé Eliott, dont elle avait su le nom grâce à Violine. Elle se leva en vitesse en entendant le mot "jeu", Calinours dans sa main et sa photo dans l'autre. Elle aimait les jeux! Elle jouait souvent à sa soeur à des jeux de sociétés dont pour la plupart, elle ne comprennait même pas les règles. Elle en inventait et supprimait celles qu'elle n'aimait pas. Caroline ne disait rien; ça ne la dérangeait pas tant qu'elles s'amusaient. C'était ça l'important.

La petit sautillait sur place.

- Dit, c'est quoi ce jeu? C'est compliqué? Il y a des règles à respecter?

Comme d'habitude, les questions coulaient sans qu'elle ne les arrête. Lorsqu'elle se sentait en confiance, elle ne cessait de poser des questions mais lorsqu'il y avait des inconnus près d'elle, elle était muette comme une carpe!
La fillette regarda Violine. La chef du clan des oiseaux? Il y avait donc des clans! Ils étaient sûrement tous les uns contre les autres dans ce jeu. Peut-être les îles étaient-elles répartis ainsi? Elle regarda à nouveau Eliott.

- C'est quoi les autres clans mis à part celui des oiseaux? Et toi tu fais partit du quel? Je serais dans le même que toi?

Pour rien au monde la petite ne désirait aller dans un autre clan que le jeune garçon et surtout pas celui de l'adolescente! Elle n'aimait pas son caractère. Et elle ne désirait pas non plus être avec des inconnus, malgré qu'elle ne connaisse pas Eliott.

je debarqua du bateau et vien me metre dans la foule. je n'etais pas abituer a une aussi grande foule la plus part du temps jetais dans des place ou des village de moin de 50 personne.
ou encore dans la foret. je savais survivre en foret. mes parent me lavais apris.

je reguardais autour de moi et vie trois personne se parler. je resta debou. je ne voulais pas masire. mon aparence rappelais selui d'un garson, mais au fon j'etais une fille qui menquet un peut trop d'estrogenne.

on me tendit un formulaire. je le replis avec vitesse je n'aimais pas mtrop ecrire je cherchais plus tot a gripper ou je pouvais a faire se que je voulais. dans ma poche il y avais un papillon en metal et en papier que javias fait avec mon pere. je navais pas pleurer a sa mort et je ne plurais plus. javias promi, je devias tenir.

je rendit le formulaire un foit renpli a la personne qui me lavias donner. il y a vais beacoup de faut mais bon on etais pas en fraicais. jerivais pres d'un arbre et y gripas. je reguardais aussi les autre arivent. avec agiliter je monta plus haut pour mieu voir les autre.

*sa semble mieu que la petit chambre ou jetais.*

(Ah nan, t'aime pas mon caractère, fillette? Eh ben accroche-toi bien, tu n'as encore rien vu!! Niark! Niark! Niark! XD)

Violette avait très hâte de débuter le Grand Jeu. Dès que sa Tribue serait formée, elle songerait alors à un plan infaillible. Son intelligence hors du commun l'y aiderait! Mais il fallait penser à sa modestie... Violette darda son regard intense vers Marie-Laurence. Non, décidément, elle ne la prendrait pas. D'ailleurs, elle semblait beaucoup attachée à Eliott.

Violette regarda alors une nouvelle arrivante (enfin!). Qui était-elle? Aurait-elle l'honneur de faire partie de la Tribue des Oiseaux, les plus astucieux?? Personne ne le savait... pour l'instant. Violette se dirigea vers la p'tite nouvelle. Elle tenta d'avoir l'air le moins imposant possible, mais elle en était totalement incapable! Elle soupira en levant les yeux au ciel. Si ça continuait ainsi, avec son caractère, personne ne viendrait dans sa Tribue!

Violette dit:

"Bonjour toi. Ça va bien, avec le formulaire? J'espère que tu te plairas sur l'une des 5 îles..."

Mais la jeune fille était déjà montée dans un arbre. Elle semblait agile... Sans doute rejoindrait-elle les Singes? Violette soupira derechef. Qui serait dans les Oiseaux, m'enfin? Mais il ne fallait pas se décourager. La vie vous réserve parfois de telles surprises...

(Akima, prend exemple sur les autres posts. )

(mais je veu pas le faire en elle! je ne peut tou simplement pas! je suis trop abituer a la fair en je!!!)

je reguardais le fille qui venais de ma parler. je lui fit signe que oui. je ne parlerais pas pour l'insten ou plustot je ne crirais pas. je contunuais a les reguarder un a un. plus de fille que de garson a croire que je ne vias pas beacoup mamuser. je suis encore un peut trop garson pour que je mesente tres bien avec un fille seraisse ma petit soeur.

-alors il va y avoir des chef! je croi que le ou la mien/mienne ne maismera pas beaucoup.

je pensais a vois basse. jecontinu a reguarder autour de moi. des fuille des arbre, la nature quoi! rien de plus beau a mes yeux justye se que je pouvais suporter juste les chose que javias depuyi mon enfance. je ne prendrais pas beacoup de temps a me retrouver sur l'ile ou jirais.

(En passant, Akima, dans le jeu, j'ai 14! Je ne suis plus tellement enfant, disons..)

Violette regarda la jeune fille de haut. Elle lui répondit:

"Il y A des chefs! Regarde-moi, j'en suis une! Je m'apelle Violette, chef des Oiseaux. Et toi? J'espère que tu me rejoindras! Mais si c'est le cas, je ne serai pas du genre à te bécoter à chaque minute! M'enfin, je ne sais pas trop ce que tu veux dire lorsque tu dis que ton futur chef ne t'aimera pas... Bref, as-tu fini de répondre? j'aimerais bien regarder... "

Violette, attendant la réponse de la jeune fille, commenta à voix basse:

"Tu vois la jeune fille, là-bas, près du chef des Chevaux, Eliott? Eh bien, je suis peut-être trop méchante, mais elle a l'air un peu trop pleurnicharde! Je me demande si elle a apporté des mouchoirs avec sa peluche..."

Violette ricana. Un sourire sarcastique flottant sur ses lèvres, Violette dit à la jeune arrivante:

"Dis, tu me trouves trop méchante?"

(Excuse-moi, Marie-Laurence... Si je t'insulte un peu trop, dis-le moi sans détour! Violette devrait fermer sa grande gueule, parfois.)

je la reguarda. je me demendais commen elle avias fait pouir mentendre vus que javais parler a voix tres basse. je passa se fait et lui dit:

-j'ai deja donner mon formulaire! et deplus je ne trouve personne de mechant ou de gentil! car tout depens se qui est quoi pour qui.

je continuem a reguarde rautour de moi. les vague se faise sintyente le sable dorer et les arbres vert (XD) je reguard encore plus loin que je peut les 5 ile son la visible mais petite. je reguarde encor les savble. chose que je n'aimais aps tent que sa. mais aumoin je pouvais aterire snas me faire mal. je repensias au nombreuse fois ou javias tomber d'un arbre quyand jetais jeune.mes parent que me cherchais et venais me voir. a la penser de mes parent j'eu un envie de pleurer que je renvoya directement dans le fon de moi meme pour tenir ma promesse. je navias qu'une parolle et je le tiendrais.

Violette se tourna vers Eliott en lui disant:

"Dis donc, Eli, tu pourrais pas me prêter le formulaire de cette petite? À qui elle pourrait bien appartenir, tu penses?"

La jeune rebelle se tourna derechef vers la jeune fille inconnue.

"Alors, quel est ton nom?"

Violette se croisa les bras. Une mèche de sa frange lui tombait dessus. Elle l'ôta à l'aide de son pouce. Les yeux plissés, elle regardait les autres. Le vent se levait, faisait lever les cheveux des enfants...

je reguardais la fille en bas.

*si elle pense que j'ai donner mon formulaire a lui!*

je me desida a lui repondre:

-je suis akima!

je n'en di pas plus de tout fason je voulais faire autre chose. je reguarda alors le haut de l'arbre la vus devais y etre magnifique. je desida donc de monter en haut. je fai tomber a plusieur reprise mais moi aulieu davoir peur de trouvais sa drolle. je reussi a aller en haut de l'arbre.

la vus... la vus i etai indescriptible le seul chose que je pourais vous dire c'est qu'elle estais plus que: magnifique,splendide, extraordinaire,belle, tout c'est mots aditionner ne suvisais pas a montrer comment la vus y etais magnifique.

{Nan, mais c'est parce que t'as écrit que t'avais donné le formulaire au garçon, donc j'ai supposé que c'était Eliott... Anyway. }

Violette vit avec amusement Akima bondir de branche à branche. Quelle agilité! Violette n'avait jamais été très agile. Mais elle se le garda bien de le dire... et de dire des compliments! C'était elle, la meilleure! Violette se contenta d'hausser les épaules. Elle lança à Akima:

"Bienv'nue, Akima. J'espère que tu feras partie des Oiseaux."

Violette regarda en direction d'Eliott et de Marie-Laurence. À bien y penser, ils feraient partis de la même Tribue... Eliott serait difficile à battre dans le Jeu... Mais pour l'instant, elle le considérait comme un ami. Quant à Marie-Laurence, Violette savait que l'enfant ne lui faisait pas confiance! Ça avait paru dans ses yeux tout à l'heure.

{HJ: En passant, tu ne peux être des Monkeys si ton nom est gris pâle comme mwa... Eliott, qu'est-ce t'as encore fait??? XD}

(Merci de m'avoir attendu, j'apprécie grandement. Akima, je te conseille d'écrire tes textes sur un correcteur orthographique, ca t'aiderait beaucoup ^^)

Livia était dépassé mais gardait la tête froide. D'un tempérament solitaire, elle détestait la compagnie. Elle regarda d'un oeil plat une jeune fille grimper en haut d'un arbre et capta les paroles de Violette. La jeune Gothique fit une grimace, juste un quart de seconde, et elle dit à voix haute :

- Les Oiseaux auraient-ils une langue de vipère comme Chef ?? -

Oui, la jeune allemande détestait les abrutis qui se moquaient des plus petits. Elle frotta son poignet droit par réflexe, senant sur son poignet la cicatrice qu'elle s'était faite avec un magnifique couteau de cuisine émoussé. Une jeune suicidaire ?? Exact. D'une pirouette arrière et experte, la jeune gymnaste Gothique se retrouva assise sur le toit de la Maison, près du monde et loin du bruit. Exactement ce qu'il lui fallait. Elle entendit derrière elle un petit miaulement, ténu. Elle se tourna et attrapa d'une main Moppy, son chat noir et blanc qui la suivait partout.

- Sacripant !! Tu m'as suivi jusqu'ici ?? C'est pas bien ca !! -

Livia sourit et caressa son chat distritement, regardant l'Unique s'éloigner. Elle leva de nouveau deux doigts pour saluer le Capitaine, et se décida à descendre du toit d'un bond souple et silencieux, Moppy pelotonné au creux de ses bras, ronronnant comme une chaudière. Livia se dirigea vers Elliot, à qui elle sourit avec chaleur. Un bon ami, un très bon ami. C'est lui qui l'avait chopé pour l'amener sur l'Ile. Sans lui, elle serait en train de jouer les filles de bourges le jour et voler la nuit. Elle s'accroupit pour être à la même taille que la petite, et lui sourit avec sympathie.

- Bonjour, jeune fille !! Je m'appelle Livia. Lui, c'est Moppy ... Tu veux lui faire un calin ?? -

(merci du consaille mais j'aime pas faire sa et en plus mon corecteur et "mort"!!!)

de mes yeux vera je reguardais la sanne qui se passqais de vent mes yeux. enfin quand on dit devent c'est un peu exagerer. jetais en haut d'un arbre et il etais au moin 10 metre de haut.

le chaton etais tres beau mais tres peut pour moi. les animaux je les aimais quand il etais gros et ferose. jetais pas susidaire mais j'aimais la danger les aventure.

je metendit sur la branche. je vis aussi le bateau partire. je nen fis rien peut atacher a se dernier.